Dracénie Provence Verdon
Mairie de CALLAS

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Dracénie Provence Verdon

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Dracénie Provence Verdon

Le site de Notre Dame de Pennafort fait partie d’un projet déjà plus ancien et très ambitieux mais que nous ne voulons pas abandonner : la restauration de la chapelle néo-byzantine accompagnée de sa tour maure qui domine les gorges de Pennafort spectaculaires et très fréquentées en toute saison.

Des travaux de maintenance en commençant par la toiture sont à effectuer rapidement afin d’éviter une dégradation des murs et de l’intérieur de la chapelle. En revanche, la fragilité du rocher qui supporte l’édifice, révélée par les études géotechniques (en 2010-2011) ralentissent la prise de décision d’une restauration telle que nous l’avions envisagée, avant qu’une décision technique, financièrement acceptable ne soit prise. Ce bien de grande qualité tant au niveau paysager qu’historique, sans être classé jusqu’à présent, mérite tout votre soutien. 

Des documents sont à votre disposition si vous vous y intéressez.

LES GORGES DE PENNAFORT ET LA CHAPELLE 

Yves Frebourg nous autorise à publier sa vidéo des Gorges de Pennafort et de la Chapelle ce qui permet d'admirer la beauté du site et l’importance emblématique de la chapelle jusque dans ses moindres détails y compris l’état de sa toiture.   Merci à Yves Frebourg pour ce témoignage

PENNAFORT

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Rappel historique Située sur un point dominant, la chapelle Notre Dame de Pennafort est édifiée sur un petit plateau qui surplombe une rivière à proximité d’une tour de défense médiévale et des restes de fortifications.

La chapelle a été construite entre 1852 et 1857 sur les plans d’André Pellicot, architecte à Callas, à l’emplacement d’une chapelle plus ancienne qui daterai d’avant le XV éme siècle (cf. annexe 1) et qui avait été acquise en 1807 par la fabrique.

La nouvelle construction adopte une architecture néo-classique héritée de l’architecture des Lumières. 

L’ancienne chapelle qui devait être démolie dans le projet initial est finalement conservée et transformée en sacristie. Seul un hangar est supprimé.

La nouvelle chapelle est élevée en moellons de tufs pour les murs, les voûtes et les arcs doubleaux, et en maçonnerie de briques pour les piliers. La coupole est couverte en zinc et les couvertures sont en tuiles rondes. Le porche était couvert d’une voûte en roseaux, aujourd’hui disparue et les baies semi-circulaires du transept étaient pourvues de vitres peintes.

L’intérieur de l’édifice est couvert de carreaux de terre cuite et la voûte de la coupole est décorée de peintures décoratives. Ces travaux sont décrits dans une situation d’André Pellicot (AD  4 V 2/2). Il reste peu de documents concernant les travaux réalisés après la construction à l’exception d’une subvention de la préfecture pour la construction d’un autel en 1862 (probablement l’autel principal) et une subvention pour des travaux de restauration en 1869. Au cours du XX ème siècle, seules deux petites campagnes d’entretien sont mentionnées, la première en 1948 après des dégâts occasionnés à la suite de la coupe de pins aux alentours de la chapelle, et la seconde en 1974 après une tempête.

Il n’a pas été trouvé d’archives concernant la tour médiévale. L’édifice est construit en moellons équarris avec des chaînes d’angle à bossage rustique. La façade Ouest est percée d’une porte au rez-de-chaussée et la façade Nord possède une fenêtre cintrée à l’étage. Le rez-de-chaussée est couvert d’une voûte en plein cintre.

PRESENTATION:

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